Quand doucement tombe la nuit
Et que l’étincelle surgit
Ma pensée se perd dans les plis de ce lit
Du crépuscule à l'agonie
Mon toucher atteint ce fil incandescent
Se brûle les ailes jusqu’au firmament
L’étincelle est un joyau que je peux à nouveau aimer
L’étincelle est un flambeau qui éclaire mon ennui
L’obscurité n’est plus ma fatalité
Elle est là pour m’illuminer le temps d’un oubli
Alors éblouissez-moi
Vers où elle se compose
Je la sculpterai
Et peindrai
Ô comme je la perçois
Sans pause
Quand doucement tombe la nuit
Et que l’étincelle surgit
Ma pensée se perd dans les plis de ce lit
Du crépuscule à l'agonie
Le sculpteur prend le temps d’observer cette ingénue
Le sculpteur prend le temps d’observer cette ingénue
Comme le peintre devant sa toile tendue
Tenant compte des reflets de la matière laide ou belle
Avec la nature n'importe que l'émotionnel
Et mon corps se liquéfie au contact de cette lueur
C’est l’heure où s’embrase mon cœur
Alors éclaboussez-moi avant de repartir
Vers où elle s’infiltre
Je la tamiserai
Et parfumerai
Ô comme je la respire
Sans filtre
Quand doucement tombe la nuit
Et que l’étincelle surgit
Ma pensée se perd dans les plis de ce lit
Du crépuscule à l'agonie
Resterait-elle après l'orgie
Resterait-elle après l'orgie
S’agirait-il d’être en osmose avec cette folie
De tenir compte de l’existence de ses essences
De l’ombre de ses lumières de ses absences
L’étincelle est-elle un noyau amer un agrume
L’étincelle est-elle un oiseau de paradis sans plume
Alors propulsez-moi avant de la voir s'évanouir
Vers où elle s'enfuit
Je la survolerai
Et rattraperai
Ô comme je la languis
Sans mentir
Sans mentir.
RépondreSupprimerC'est de la magie.
Je crois rêver.
Je rêve ou pas ?
L.