Ai-je le sang glacé
Sous la clarté
De ton absence
J’en frissonne l’aberrance
Ai-je les yeux fermés
Sous l’avidité
De ton choix
J’en oublie ma voix
Ai-je les lèvres gercées
Sous l’ombre zébrée
De tes souffrances
J’en brûle la repentance
Ai-je le cœur cicatrisé
Dégrisé
De ton esprit
J’en dévore l’ennui
Et en cette nuit glaciale étoilée
A l’abri des montagnes enneigées
A la lueur de la bougie
Je relis ta poésie
Et d’un geste
Je referme la dernière page
D’un mépris funeste
Le livre de cet aréopage
Et j'imagine au petit matin
Fuir cette histoire sans fin
Vers de nouvelles pages blanches
En ce beau jour de dimanche
Comme la neige recouvre la colline
Le temps d'une saison
Je m’accorde à raison
Une nouvelle perfusion sanguine
Sous la clarté
De ton absence
J’en frissonne l’aberrance
Ai-je les yeux fermés
Sous l’avidité
De ton choix
J’en oublie ma voix
Ai-je les lèvres gercées
Sous l’ombre zébrée
De tes souffrances
J’en brûle la repentance
Ai-je le cœur cicatrisé
Dégrisé
De ton esprit
J’en dévore l’ennui
Et en cette nuit glaciale étoilée
A l’abri des montagnes enneigées
A la lueur de la bougie
Je relis ta poésie
Et d’un geste
Je referme la dernière page
D’un mépris funeste
Le livre de cet aréopage
Et j'imagine au petit matin
Fuir cette histoire sans fin
Vers de nouvelles pages blanches
En ce beau jour de dimanche
Comme la neige recouvre la colline
Le temps d'une saison
Je m’accorde à raison
Une nouvelle perfusion sanguine
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