L’eau de l’étendard flotte ce soir en un clapotis révérencieux
Sous la mousson d’un vent au port floconneux
Sanguine est l'horizon courbe de ce corps voluptueux
Pleure et mon soupir séchera tes yeux
Je garderai au sein de mes entrailles ton visage
Tu illumineras la pénombre orageuse de mes outrages
Ton âme reflétera mon cœur en esclavage
Et je viendrai t’aimer le temps d’un songe par delà les nuages
Serai-je ta partition perdue tant recherchée
Bat le tambour la corde le vent et soufflera l’harmonie
La valse ambrée unira notre symphonie
Ta fragilité insoupçonnée sur un air oublié
Où ton esprit s’essaime au creux de mon silence
Finirai-je par perdre sans arrêt la voix de ton absence
Sous la mousson d’un vent au port floconneux
Sanguine est l'horizon courbe de ce corps voluptueux
Pleure et mon soupir séchera tes yeux
Je garderai au sein de mes entrailles ton visage
Tu illumineras la pénombre orageuse de mes outrages
Ton âme reflétera mon cœur en esclavage
Et je viendrai t’aimer le temps d’un songe par delà les nuages
Serai-je ta partition perdue tant recherchée
Bat le tambour la corde le vent et soufflera l’harmonie
La valse ambrée unira notre symphonie
Ta fragilité insoupçonnée sur un air oublié
Où ton esprit s’essaime au creux de mon silence
Finirai-je par perdre sans arrêt la voix de ton absence
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