Partirais-je en pleine nuit vers un nouveau festin
Un festin à l'odeur d'une peau lisse et cuivrée
Un festin à l'orée des reins où rigole le malin
Un festin à l'embouchure au goût salé et sucré
Me croirais-tu si je te disais je ne veux que ton bien
Prendrais-je au sérieux alors enfin
Chaque intonation de ta voix chacun de tes gestes
Chacun de tes sourires chacun de tes manifestes
Mais tes idées les prendrais-je au sérieux juste ciel
Ou prendrais-je en toi finalement
Uniquement
Ce qu'il me semble comme essentiel
Et sous cette nuit froide où la lune est blonde
Naviguant doucement entre tes hanches fécondes
Chercherais-je encore ton ciel étincelant
Où nos nuages en sueur flirtent l'indécent
Ne connaîtrais-je plus ni de toit ni de loi
Uniquement la lumière de ton regard sur moi
Uniquement la passion de l'appel de ta voix
Uniquement le frisson de ton corps en émoi
Et à travers les eaux de nos amours si tendres
Viendrais-tu jusqu'à moi déposer ton doux visage
T'offrirais-je alors en hommage
Un beau tournesol en fleur pour te reprendre
Un festin à l'odeur d'une peau lisse et cuivrée
Un festin à l'orée des reins où rigole le malin
Un festin à l'embouchure au goût salé et sucré
Me croirais-tu si je te disais je ne veux que ton bien
Prendrais-je au sérieux alors enfin
Chaque intonation de ta voix chacun de tes gestes
Chacun de tes sourires chacun de tes manifestes
Mais tes idées les prendrais-je au sérieux juste ciel
Ou prendrais-je en toi finalement
Uniquement
Ce qu'il me semble comme essentiel
Et sous cette nuit froide où la lune est blonde
Naviguant doucement entre tes hanches fécondes
Chercherais-je encore ton ciel étincelant
Où nos nuages en sueur flirtent l'indécent
Ne connaîtrais-je plus ni de toit ni de loi
Uniquement la lumière de ton regard sur moi
Uniquement la passion de l'appel de ta voix
Uniquement le frisson de ton corps en émoi
Et à travers les eaux de nos amours si tendres
Viendrais-tu jusqu'à moi déposer ton doux visage
T'offrirais-je alors en hommage
Un beau tournesol en fleur pour te reprendre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire