Quand le vent du sud au couchant soulève votre robe
Ressembleriez-vous à l'envolée d'une palombe
La magie éternelle de votre plume finira-t-elle
Juste à l'orée de vos fantasmagoriques décibels
Quand vous flânez les fleurs de l'Aubépine vous respirent
Fleuririez-vous aussi vite le temps d'un soupir
L'amour en toutes saisons comme par pur plaisir
Juste là à la naissance d'un premier baiser d'élixir
Quand vous emportez des lavandes que vous avez cueillies
Trembleriez-vous de joie à l'odeur de cette eau de vie
Votre pudeur creuset infantile s'effacera-t-elle
Au contact habile d'une main à la douceur plurielle
Quand vous me parlez pour éviter sans doute mon oubli
Entendrais-je la musique du vent de votre pays
Quand vous me regardez étreindre vos cheveux à vive allure
Verrais-je couler notre rivière d'argent sur votre chevelure
Et quand la nuit rosée de vos joues se reflète au contact de l'oreiller
Dans les perles immenses de votre collier
Je vois des pépites d'or étincelantes dans vos cheveux
Je sens des pattes d'oies se dessiner au coin de mes yeux
L'amour serait-il une fleur que le vent couche
Nous n'aimerions pas croire que c'est déjà l'aurore
Et que la tempête s'arrête sans qu'elle nous retouche
Encore et encore même si Eole n'est plus d'accord
Ressembleriez-vous à l'envolée d'une palombe
La magie éternelle de votre plume finira-t-elle
Juste à l'orée de vos fantasmagoriques décibels
Quand vous flânez les fleurs de l'Aubépine vous respirent
Fleuririez-vous aussi vite le temps d'un soupir
L'amour en toutes saisons comme par pur plaisir
Juste là à la naissance d'un premier baiser d'élixir
Quand vous emportez des lavandes que vous avez cueillies
Trembleriez-vous de joie à l'odeur de cette eau de vie
Votre pudeur creuset infantile s'effacera-t-elle
Au contact habile d'une main à la douceur plurielle
Quand vous me parlez pour éviter sans doute mon oubli
Entendrais-je la musique du vent de votre pays
Quand vous me regardez étreindre vos cheveux à vive allure
Verrais-je couler notre rivière d'argent sur votre chevelure
Et quand la nuit rosée de vos joues se reflète au contact de l'oreiller
Dans les perles immenses de votre collier
Je vois des pépites d'or étincelantes dans vos cheveux
Je sens des pattes d'oies se dessiner au coin de mes yeux
L'amour serait-il une fleur que le vent couche
Nous n'aimerions pas croire que c'est déjà l'aurore
Et que la tempête s'arrête sans qu'elle nous retouche
Encore et encore même si Eole n'est plus d'accord
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