
Les fleurs du jardin sont fanées
Leurs parfums épuisés
Les insectes se sont éparpillés
Et les feuilles changent de tonalités
Alors que ma tête bourdonne
La rosée matinale annonce l’automne
Le mistral siffle sur l'eau et fredonne
Des airs sur nos chairs qui frissonnent
Soulevant légèrement sa robe de soie
Elle embarque dans le youyou et met les voiles sans moi
Leurs parfums épuisés
Les insectes se sont éparpillés
Et les feuilles changent de tonalités
Alors que ma tête bourdonne
La rosée matinale annonce l’automne
Le mistral siffle sur l'eau et fredonne
Des airs sur nos chairs qui frissonnent
Soulevant légèrement sa robe de soie
Elle embarque dans le youyou et met les voiles sans moi
Sous un frimas clapotis
Elle s'enfuit
Est-ce que les cumulonimbus m’accompagneraient un message envoyé de loin
Quand les cigognes blanches retourneront en rang
Nous allons admirer ensemble la lune en coin
Sous la tonnelle d'été au bord de l’étang
Les reflets s’en vont emportés par le courant
Nous sommes séparé par la distance et souffrants
Partageant notre regret réciproque
Sans être équivoque
Comment puis-je éliminer ma pensée pour toi mon doux exil
Qui vient juste de t'échapper de mes cils
Mais occupe déjà mon cœur
j'en ai bien peur
Elle s'enfuit
Est-ce que les cumulonimbus m’accompagneraient un message envoyé de loin
Quand les cigognes blanches retourneront en rang
Nous allons admirer ensemble la lune en coin
Sous la tonnelle d'été au bord de l’étang
Les reflets s’en vont emportés par le courant
Nous sommes séparé par la distance et souffrants
Partageant notre regret réciproque
Sans être équivoque
Comment puis-je éliminer ma pensée pour toi mon doux exil
Qui vient juste de t'échapper de mes cils
Mais occupe déjà mon cœur
j'en ai bien peur
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