Temps gris et pluvieux
Ce samedi à l’horizon de mes essieux
Je roulais vers l’hôtel-Dieu
Histoire de sortir mon paresseux du pieu
Et puis … Je marchais sans trop savoir où j’allais !
Lorsque je l’ai vu la toute première fois
Danser à travers cette lucarne en claire-voie
Je suis passé devant plus de cent fois
Avant de rentrer de sang froid
Et puis … l’efflorescence !
J’ai vécu ce nouveau jour
Comme pour un premier amour
Un premier amour en contre jour
Un contre-jour m’invitant à lui faire la cour
Et puis … Elle s'est retrouvé à portée de bras!
Avec ces yeux grands ouverts et violets
Je ne me trompais pas extraordinaire ballet
Je déambulais timidement vers ce joli paquet
Surmonté de cheveux ébènes en bouquets
Et puis … elle ne bougea plus !
Bouche pulpeuse à la lèvre rouge brillantée éclatante
Silhouette à la peau blanche étrangement attirante
La hanche haute suave et captivante
Nombril diamant couronnait cette aliquote affriolante
Et puis … me voilà face au miroir !
L’alcalescence de ma tenue me rendait inintéressant
Au charisme inexistant
Un genre de gnome à la démarche sanglante
Allure flegmatique d’un ange transparent
Et puis … son regard pénétra le mien !
Sans appel cela a été le déclic dans mon cœur
Je me connais par cœur
Toi ma Violette tu étais devenue soudain mon accroche cœur
Mon sacré cœur
Et puis … elle m'a souri dit bonjour !
L’enfer du bégaiement noyé dans ce regard
Mon corps brûlait, ma poitrine se débattait, tout parti vers nulle part
Rien ne sortait de ma bouche il était trop tard
Pourtant l’écorce de mes veines implorait mon rancart
Et puis … je lui ai tout lâché les yeux fermés !
Tu étais éperdument belle
Toutes ces après-midi mon désir livré sous ton champ de mirabelles
En m’offrant tous ces moments exceptionnels
Je t’oublierai jamais toi ma Violette intemporelle
Et puis … d'un seul geste !
Elle était vraiment partie avec mes rêves
Un grand amour s’achevait
Orphelin dans mes entrailles en grève
Mon enveloppe n’avait plus de sève
Et puis … par sécheresse !
J’ai jeté par dessus bord
Tous nos souvenirs sans un remord
Ma journée caleçon en thérapie sextuor
Sans un soupçon Technicolor
Et puis ... un jour nouveau sans amour !
T’avais vraiment fait le vide dans mon cœur
En embarquant tous nos instants de bonheurs
J’ai additionné des conquêtes comme amortisseurs
Des nanas avec rien dans l'assimilateur
Et puis … J'ai fini seul dans mon pieu avec mon paresseux !
Et puis je t'aime encore ...
Ce samedi à l’horizon de mes essieux
Je roulais vers l’hôtel-Dieu
Histoire de sortir mon paresseux du pieu
Et puis … Je marchais sans trop savoir où j’allais !
Lorsque je l’ai vu la toute première fois
Danser à travers cette lucarne en claire-voie
Je suis passé devant plus de cent fois
Avant de rentrer de sang froid
Et puis … l’efflorescence !
J’ai vécu ce nouveau jour
Comme pour un premier amour
Un premier amour en contre jour
Un contre-jour m’invitant à lui faire la cour
Et puis … Elle s'est retrouvé à portée de bras!
Avec ces yeux grands ouverts et violets
Je ne me trompais pas extraordinaire ballet
Je déambulais timidement vers ce joli paquet
Surmonté de cheveux ébènes en bouquets
Et puis … elle ne bougea plus !
Bouche pulpeuse à la lèvre rouge brillantée éclatante
Silhouette à la peau blanche étrangement attirante
La hanche haute suave et captivante
Nombril diamant couronnait cette aliquote affriolante
Et puis … me voilà face au miroir !
L’alcalescence de ma tenue me rendait inintéressant
Au charisme inexistant
Un genre de gnome à la démarche sanglante
Allure flegmatique d’un ange transparent
Et puis … son regard pénétra le mien !
Sans appel cela a été le déclic dans mon cœur
Je me connais par cœur
Toi ma Violette tu étais devenue soudain mon accroche cœur
Mon sacré cœur
Et puis … elle m'a souri dit bonjour !
L’enfer du bégaiement noyé dans ce regard
Mon corps brûlait, ma poitrine se débattait, tout parti vers nulle part
Rien ne sortait de ma bouche il était trop tard
Pourtant l’écorce de mes veines implorait mon rancart
Et puis … je lui ai tout lâché les yeux fermés !
Tu étais éperdument belle
Toutes ces après-midi mon désir livré sous ton champ de mirabelles
En m’offrant tous ces moments exceptionnels
Je t’oublierai jamais toi ma Violette intemporelle
Et puis … d'un seul geste !
Elle était vraiment partie avec mes rêves
Un grand amour s’achevait
Orphelin dans mes entrailles en grève
Mon enveloppe n’avait plus de sève
Et puis … par sécheresse !
J’ai jeté par dessus bord
Tous nos souvenirs sans un remord
Ma journée caleçon en thérapie sextuor
Sans un soupçon Technicolor
Et puis ... un jour nouveau sans amour !
T’avais vraiment fait le vide dans mon cœur
En embarquant tous nos instants de bonheurs
J’ai additionné des conquêtes comme amortisseurs
Des nanas avec rien dans l'assimilateur
Et puis … J'ai fini seul dans mon pieu avec mon paresseux !
Et puis je t'aime encore ...
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